Du 24 septembre au 18 décembre 2019
La Biennale de Rabat
Dans le cadre de la mise en œuvre de son plan d’action, la Fondation nationale des musées organise la première Biennale d’art contemporain de Rabat qui se tient du 24 septembre au 18 décembre 2019 et dont le commissariat général est confié à Abdelkader Damani, historien de l’art et philosophe.
La biennale se veut, depuis le Maroc, la revendication d’une nouvelle lecture de l’esthétique afin de coécrire une histoire de l’art sans frontière à travers des récits, des expériences et des imaginaires qui convergent pour poser les jalons d’un art inclusif, hétérogène et universel. Avec cet événement, Rabat Ville Lumière, Capitale Marocaine de la Culture, invite le monde à repenser l’art à travers une approche multidisciplinaire et fédératrice qui réunit artistes, académiciens, historiens d’art, cinéastes et artisans. La Biennale s’installe dans différents lieux de la ville, patrimoine de l’UNESCO depuis 2012, afin de faire de la ville une pleine scène où le réel et la fiction participent au développement de la liberté de création. Rabat est la première artiste invitée de cette Biennale, ses rues, ses monuments, ses bruits, ses musiques, ses parfums, sont autant d’œuvres du réel que les visiteurs découvriront au rythme des flâneries d’un lieu d’exposition à l’autre.
La Biennale de Rabat est pensée comme un archipel : la partie centrale, l’exposition internationale, est dédiée à l’invitation exclusive des artistes femmes. Les autres volets, sous la forme de cartes blanches et de programmations associées respectent avec rigueur le principe de la parité.

Dans le cadre de la mise en œuvre de son plan d’action, la Fondation nationale des musées organise la première Biennale d’art contemporain de Rabat qui se tient du 24 septembre au 18 décembre 2019 et dont le commissariat général est confié à Abdelkader Damani, historien de l’art et philosophe.
La biennale se veut, depuis le Maroc, la revendication d’une nouvelle lecture de l’esthétique afin de coécrire une histoire de l’art sans frontière à travers des récits, des expériences et des imaginaires qui convergent pour poser les jalons d’un art inclusif, hétérogène et universel. Avec cet événement, Rabat Ville Lumière, Capitale Marocaine de la Culture, invite le monde à repenser l’art à travers une approche multidisciplinaire et fédératrice qui réunit artistes, académiciens, historiens d’art, cinéastes et artisans. La Biennale s’installe dans différents lieux de la ville, patrimoine de l’UNESCO depuis 2012, afin de faire de la ville une pleine scène où le réel et la fiction participent au développement de la liberté de création. Rabat est la première artiste invitée de cette Biennale, ses rues, ses monuments, ses bruits, ses musiques, ses parfums, sont autant d’œuvres du réel que les visiteurs découvriront au rythme des flâneries d’un lieu d’exposition à l’autre.
La Biennale de Rabat est pensée comme un archipel : la partie centrale, l’exposition internationale, est dédiée à l’invitation exclusive des artistes femmes. Les autres volets, sous la forme de cartes blanches et de programmations associées respectent avec rigueur le principe de la parité.

L’exposition internationale
Le cœur de la Biennale s’installera dans plusieurs lieux de la ville afin de donner à voir la première plateforme dédiée à l’invitation exclusive des artistes femmes : 64 artistes venues de 30 pays. Par ce geste premier, à l’échelle mondiale, la Biennale de Rabat est l’endroit où s’écrit un nouveau récit du monde à partir des imaginaires, des rêves, des revendications des femmes. La sélection des artistes est volontairement ouverte. Ce qui est fondamental, c’est de créer les conditions de l’interdisciplinarité – arts plastique, théâtre, cinéma, chorégraphie, littérature.
Carte blanche à Mohammed El-Baz
Un autre volet de la Biennale consiste à questionner les paradigmes du commissariat d’exposition dans un dialogue directe au territoire qui accueille la Biennale. Aussi, nous avons confié à un artiste, Mohammed El-Baz, de dessiner sa vision de la scène artistique contemporaine au Maroc. A travers l’invitation de 7 artistes marocaines et marocains, « l’exposition – installation » proposée dans cette carte blanche abat les cartes de ce qu’il convient de nommer « art contemporain marocain » ainsi que les modalités de sa monstration.
Carte blanche à Narjiss Nejjar
Tout au long de la Biennale, au rythme de rendez-vous hebdomadaire, Narjiss Nejjar donnera à voir une programmation cinématographique, de master class, de discussions avec des réalisatrices et réalisateurs, afin de comprendre les conditions d’un nouveau récit du monde.
Carte Blanche Littérature et Poésie
Pour clore l’aventure de cette biennale, nous donnerons la parole aux écrivaines – romancières, poétesses, essayistes… : avec Sanae Ghouati, professeur à l’Université Ibn-Tofaïl et Faouzia Zouari, romancière tunisienne, nous organisons la Carte Blanche Littérature et Poésie qui réunira près de 50 artistes pour renouveler nos récits du monde
L’exposition internationale
Le cœur de la Biennale s’installera dans plusieurs lieux de la ville afin de donner à voir la première plateforme dédiée à l’invitation exclusive des artistes femmes : 64 artistes venues de 30 pays. Par ce geste premier, à l’échelle mondiale, la Biennale de Rabat est l’endroit où s’écrit un nouveau récit du monde à partir des imaginaires, des rêves, des revendications des femmes. La sélection des artistes est volontairement ouverte. Ce qui est fondamental, c’est de créer les conditions de l’interdisciplinarité – arts plastique, théâtre, cinéma, chorégraphie, littérature.
Carte blanche à Mohammed El-Baz
Un autre volet de la Biennale consiste à questionner les paradigmes du commissariat d’exposition dans un dialogue directe au territoire qui accueille la Biennale. Aussi, nous avons confié à un artiste, Mohammed El-Baz, de dessiner sa vision de la scène artistique contemporaine au Maroc. A travers l’invitation de 7 artistes marocaines et marocains, « l’exposition – installation » proposée dans cette carte blanche abat les cartes de ce qu’il convient de nommer « art contemporain marocain » ainsi que les modalités de sa monstration.
Carte blanche à Narjiss Nejjar
Tout au long de la Biennale, au rythme de rendez-vous hebdomadaire, Narjiss Nejjar donnera à voir une programmation cinématographique, de master class, de discussions avec des réalisatrices et réalisateurs, afin de comprendre les conditions d’un nouveau récit du monde.
Carte Blanche Littérature et Poésie
Pour clore l’aventure de cette biennale, nous donnerons la parole aux écrivaines – romancières, poétesses, essayistes… : avec Sanae Ghouati, professeur à l’Université Ibn-Tofaïl et Faouzia Zouari, romancière tunisienne, nous organisons la Carte Blanche Littérature et Poésie qui réunira près de 50 artistes pour renouveler nos récits du monde